« Celle-ci, restée seule après la mort de son mari, avait géré son ennui, à l’aide de la rente que lui laissait son veuvage.
Tôt, elle se piqua d’ésotérisme, et de psychologie hindoue. Elle n’ignora plus rien du zen, parla de nirvana. On dut l’avertir des dangers du yoga pratiqué à un âge aussi respectable que le sien. Elle se fit le devin des individus et de leurs problèmes, et soupçonnant les conflits entre les gens, elle se félicitait de les prévenir avant qu’ils n’éclosent. Ainsi créa-t-elle davantage de querelles qu’elle n’en résolut.
Elle acquit, malgré tout, une autorité sur ces proches que personne ne contesta. »