"Norris compare les tueurs en série à des "animaux sauvages" parce qu'ils sont "fascinés par les traces de leurs crimes. Ils se rendent sur la tombe de leur victimes et assistent à leur enterrement". Et même après l'enterrement, explique-t-il, le tueur en série "aime garder son crime vivant dans son souvenir en lisant des articles de journaux sur sa victime, ou bien en retournant sur le lieu ou il l'a trouvée." p.164