Je craignais que ces écrits ne fussent perdus pour la postérité et, bien qu'ils puissent être condamnés par mes contemporains, je ne doute pas qu'ils seront traités avec la révérence qui leur est due, quand la sagesse et l'érudition exerceront enfin leur ascendant sur l'humanité et que les hommes ne liront plus que pour leur édification et le progrès de leur intelligence.