Dégagés de la course à la réussite, délivrés d'un combat qu'ils savaient inutile, les chômeurs s'alanguissaient peu à peu dans une disponibilité dont ils finissaient par apprécier la coupable liberté. La seule servitude était le retour à la maison, d'autant plus redouté qu'ils en retardaient l'échéance. (p. 49 / Le dernier vice)