[l'après Merah] La violence des attaques aurait du être le point de départ d'une réflexion approfondie. Il n'en a rien été. Entièrement décontextualisée, l'analyse des événements n'a pas dépassé celle d'un vulgaire fait divers. Rarement le débat public n'a paru autant coupé de la réalité.