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Critiques de Humberto Ramos (77)
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SHIELD, Tome 1 :

Voici le premier volume d’un nouveau bimestriel centré sur le SHIELD. Nous retrouvons une nouvelle série dont les deux premiers chapitres se dévoilent ici. Le comics surfe sur le succès (ça dépend des saisons et de quelles audiences on parle) de la série. On retrouve donc les mêmes personnages, et, déjà que la série ne vaut pas grand chose, le comics en bon spin-of parvient donc à faire pire.



Les intrigues son inintéressantes, les dessins sont catastrophiques, on à vraiment un comics commercial et qui parait bâclé. Seul le troisième chapitre qui est d’une autre série : Opération SIN 1 est sympathique, mais ça ne sauve pas le truc.



Que vous soyez fan ou pas du SHIELD, passez votre chemin et économisez votre argent, ce ne sont pas les comics de qualité qui manquent !
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Civil War, tome 2 : Vendetta

Ayant pris du retard sur ce méga cross-over de Marvel, je m’y suis remise avec un peu plus de rigueur.



La première histoire, consacrée à Spider-Man et son coming-out : il enlevé sa cagoule et donné son identité devant tout le monde, puisque la loi de recensement est passée et qu’il est obligatoire.



Ce que j’ai aimé, dans cette partie, c’est le parallèle qui est fait entre le recensement et les régimes fascistes, car, tout comme eux, le choix n’est pas possible : tu adhères ou tu seras pourchassé, tes comptes gelés, ta famille emmerdée…



Comme lors d’un conflit, vous devez choisir un camp et espérer que vous avez fait le bon choix. Si Peter Parker Spider-Man est, au départ, sûr d’être du bon côté, après avoir vu la prison dans laquelle on a enfermé les super-héros qui n’étaient pas d’accord (sans procès !), commence à se poser des questions et à penser rejoindre la résistance.



Cet épisode ne manque pas de profondeur et ont éveillé des échos en moi, me faisant penser à ces prisons, hors d’un état, où des gens sont emprisonnés, sans qu’il y ait eu de procès et qui peuvent être torturés (l’enfermement est une torture).



Si on comprend que la population ait envie de savoir qui se cache derrière les masques des super-héros, on comprend que ces derniers n’aient pas envie de divulguer leur identité, qu’ils soient des méchants ou des gentils. Je ne sais pas quel camp choisir, mais une chose est sûre, la manière dont se déroule le recensement n’est pas saine, pas éthique. C’est clairement de l’injustice et on sent que certains en profitent, de ces bagarres entre mutants.



Ce sera l’objet de la seconde partie, avec Wolverine, qui va mener son enquête et ce ne sera pas facile, même s’il est le meilleur dans sa partie. Si cette partie est hyper intéressante, j’ai détesté les dessins de Humberto Ramos qui transforment Wolverine en espèce de bourrin qui a un visage de Cro-Magnon (et une horrible silhouette).



Ce qui a foutu en l’air toute cette partie, alors que le scénario était des plus intéressants et qu’il mettait en scène un des X-Men et non un de l’écurie des Avengers. Et j’aime le personnage de Wolverine (surtout quand il est joué par Hugh Jackman), son animalité, son côté asocial,… Bref, le dessinateur a saqué mon plaisir de retrouver Serval.



Ce qui est bête, car cette seconde partie mettait en scène les sociétés qui se foutent plein de pognon dans leur poche, lors d’un conflit et qu’elles pourraient aussi jeter de l’huile sur le feu pour que les combats continuent et qu’ils puissent encore se faire des montagnes de fric… Et quand Wolverine enquête, c’est violent ! Autrement que lorsque c’est Holmes, Poirot ou Columbo…



Anybref, un excellent deuxième tome au niveau du scénario et des dessins foireux (ce n’est que mon avis) dans la deuxième moitié de l’album, ce qui a tout déséquilibré, surtout que j’avais eu de quoi ravir mes petits yeux dans l’épisode avec Spider-Man et Iron Man…



La perte de cotation est uniquement due à ces dessins qui ont fait saigner mes petits yeux de groupie…


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Kookaburra K, tome 1 : Big Bang Baby

30 pages d'un cataclysme qui anéanti l'univers, grosse marmelade rouge, élements de flashbacks incompréhensibles, et l'histoire commence enfin. le graphisme est confus, on ne sait qui est qui, tous les personnages se ressemblent, où on ne les distingue même pas dans la vignette, des tonnes d'effets de cadrage, de mouvement et de détails technologique, tout ça mélangé sans la moindre harmonie, le dessin est absolument illisible, et même assez laid parfois. Concernant l'histoire, je n'ai rien compris du tout ou presque : Un vaisseau a réussi à s'extirper de la catastrophe, (30 pages pour vous raconter ce que j'ai écrit 10 en mots !) mais ce super vaisseau a été piraté. Il y a des pirates donc, des enfants avec des super-pouvoirs, des zombies, de l'hémoglobine et encore tout un fatras de trucs improbables et toute une accumulation d'astuces de science-fiction, cela donne un gloubiboulga dégoulinant, et m'a donné l'impression d'avoir perdu mon temps.
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

Rouge et Loup poursuivent leur périple afin d'échapper à Grimm et au scénario qu'ils jugent trop cruels.



Ils trouveront sur leur route Ponce qui se morfond dans sa tour et Andersen qui essaye à sa façon de sauver les contes de l'oubli.



Ils arrivent alors sur l'ancien royaume du pays d'Oz qui a l'air en guerre avec celui du pays des merveilles...



Faut-il ou non accorder aux personnages la liberté de se construire une autre histoire ?



En tout cas les auteurs parviennent avec justesse à dépoussiérer les anciens contes et à leur donner un nouveau souffle, toujours angoissant mais combien fascinant ! A suivre...
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

Une suite moins surprenante que le premier tome mais c'est un vrai plaisir de redécouvrir les contes de mon enfance d'un autre point de vue. Et la suite s'annonce excellente !
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Kookaburra K, tome 1 : Big Bang Baby

J'adore véritablement l'univers des Kookaburra. La preuve en est que je possède chaque volume de la série mère et de la série dérivée. Or celle-ci est la série de trop, celle qui tue. Je redoutais de la lire tant les critiques extérieures étaient mauvaises. Je m'aperçois qu'elles étaient justifiées.



Pourtant, il y avait une débauche d'éléments visuels assez impressionnante. Cette surenchère qui apparaît d'emblée va tuer le feu d'artifice. Le fond ne suit pas et on décroche assez rapidement.



Un bon scénario, c'est une mise en tension et le fait de pouvoir apprécier des personnages et suivre leurs aventures.



Bref, c'est une histoire qui tombe un peu à plat. En résumé, malgré un très bon dessin, cela reste d'un niveau inférieur aux deux autres séries.
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

Les dessins sont toujours aussi beaux, et l'histoire très intrigante et bien pensée.

Dommage par contre que ça soit si court et que l'écart entre chaque tome soit si long !
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Révélations, Tome 1 :

Je dirais que ces révélations sonnent un petit peu creux au final. Ce qui m'a le plus heurté, c'est le dessin des différents personnages. On dirait qu'ils sortent d'un jeu vidéo genre "Super Mario" alors que le sujet traité ainsi que le ton de l'histoire est plutôt grave ce qui crée un parfait décalage.



Nous sommes en effet plongés en plein polar dans la cité du Vatican autour d'un meurtre d'un cardinal. L'histoire empruntant aux poncifs du genre n'a rien d'original mais cela reste très efficace. On a l'impression qu'il s'agit plutôt ici d'un subtil jeu de chat et de souris dans les arcanes du pouvoir du Vatican à la veille de la mort du Pape.



Pourtant, je dois dire que le découpage des scènes ainsi que la progression du scénario est plutôt efficace. Par ailleurs, nous avons un héros qui a perdu la foi et qui tient tête merveilleusement malgré des événements qui se précipitent en cascade au second tome. Malgré les défauts substantiels de ce récit, j'ai quand même très bien apprécié car cet objet est unique en son genre grâce à de savoureux dialogues et d'une certaine ambiance.
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Out There : tome 1 (INT)

Une série assez sympa mais réservé à un public typiquement ado. J'ai beaucoup aimé le graphisme ainsi que la colorisation de ce comics teenager. On remarquera tout de suite l'excellente qualité de l'édition. Les planches sont particulièrement soignés. Il y a également une certaine fluidité des scènes qui accentue le plaisir de la lecture.



Un groupe d'ado va affronter des monstres surgit des ténèbres et qui essayent d'envahir leur bourgade bien prospère. Les autorités locales ont passé un marché avec une force démoniaque afin de protéger la ville de la violence, du crime et de la drogue qui sévissent partout ailleurs en Californie. Cependant, cette tranquillité a un prix à payer. Fort heureusement, nos quatre adolescents sont là pour nous sauver en déjouant cette menace planétaire.



Bref, si vous aimez ce genre de pitch, c'est pour vous. En conclusion, une lecture agréable sur un scénario efficace conçu pour plaire.
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

Un deuxième tome aussi bon que le premier, avec un graphisme actuel et dynamique, renforcé par un travail sublime au niveau des couleurs. Certains personnages ont même une teinte de phylactère distinctive (Lou, M. Turque le bras droit de Grimm, le second loup, etc.).

Le scénario allie humour, action et suspense pour notre plus grand plaisir. J'ai beaucoup aimé (Rai)Ponce en tueuse psychopathe, qui attaque avec ses cheveux ! Et surtout le passage avec le troll géant, où Grimm se trouve pris à son propre piège : "Je suis un troll et j'exige une obole [pour laisser les gens traverser le pont]. Je dois suivre mon script. M. Grimm l'exige" !..

Enfin, séquence émotion avec Andersen le cartographe lorsqu'il explique que "les histoires qui tombent dans l'oubli viennent sous la montagne pour terminer leur vie", et leurs personnages se statufient...

La fin se termine en plein suspense et annonce la découverte d'un nouveau territoire terrifiant : le comté d'Oz, royaume des sorcières polaires... Vivement la suite !
Lien : http://www.takalirsa.fr/fair..
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X-Men : Les extrémistes

Ce tome regroupe 2 recueils VO : Blinded by the light + The extremists.



Blinded by the light , épisodes 200 à 204 de la série mensuelle des X-Men. Le scénario est écrit par Mike Carey et le récit fait suite à X-men: Supernovas.



L'histoire se déroule juste après le tome précédent. Les Marauders continuent d'exterminer toute personne venant du futur ou ayant des pouvoirs de précognitions. C'est ainsi qu'ils s'en prennent, entre autres, à Cable et à Blindfold (Ruth Aldine). Ils sont également à la recherche du journal des prédictions de Destiny qui se trouve dans l'école des X-Men. Ce tome comprend plusieurs confrontations entre les X-Men et les New X-Men contre les Marauders.



Attention, cette histoire est à réserver aux lecteurs des X-Men qui en sont à un niveau expert. Les équipes des X-Men se composent de Rogue, Iceman, Lady Mastermind, Cannonball, Omega Sentinel et Mystique (pour les X-Men), de Blindfold, Elixir, Rockslide, Hellion, X-23, Dust, Pixie et Mercury (pour les New X-Men), et de Cyclops, Wolverine, Beast, Emma Frost, Colossus et Kitty Pride (pour les Uncanny X-Men). Et n'oublions pas les Marauders : Vertigo, Riptide, Sunfire, Harpoon, Scalphunter, Malice, Exodus, Tempo, Gambit, Mister Sinister, et j'en oublie sûrement. Il vaut mieux que vous connaissiez tout le monde avant de vous lancer dans cette lecture.



La majeure partie des illustrations est assurée par Humberto Ramos (avec l'aide de Chris Bachalo pour le numéro 200), sauf pour le dernier épisode (Mike Choi et Sonia Oback). Ramos est toujours aussi influencé par les mangas pour le dessin des visages et des individus. Mais il maîtrise de moins en moins bien cette influence, à tel point que plusieurs personnages sont dotés de proportions grotesques : Scott Summers a l'air de sortir d'un stage chez les femmes girafes et les poings de Peter Raspoutine sont plus gros que sa tête. Et un nombre significatif de pages sont dépourvues de tout décor. C'est vrai, c'est un style personnel que je n'aime pas beaucoup. Mike Choi et Sonia Oback s'en tirent mieux dans un registre plus proche du réalisme avec une mise en couleur plus douce qui se marie très bien avec épisode introspectif.



Avec le tome précédent, Mike Carey avait fait une entrée fracassante dans le monde des X-Men donnant un coup de fouet bienvenu à une série sur le déclin. Avec cette histoire, il noie le lecteur le plus patient sous un déluge de personnages et d'évolutions des relations entre eux. Globalement, j'ai eu l'impression d'assister à la mise en place des pions pour le crossover à venir au milieu d'une foule d'individus difficiles à situer (et je ne vous parle même pas des victimes des Marauders). Il surnage de très bonnes trouvailles de scénario : 8 milliards d'individus dans l'esprit de Rogue, une Emma Frost très intelligente et très piquante, les trahisons de plusieurs X-Men, une Kitty Pride toujours aussi enjouée, le pouvoir d'Iceman à son maximum. Le fameux crossover à venir contient la suite de cette série, il s'agit de Le complexe du messie. 2 étoiles.



The etxremists - Ed Brubaker emmène quelques X-Men dans les égouts newyorkais à la recherche de quelques morlocks, pendant que Charles Xavier essaye de retrouver Erik Lehnsherr. Cette partie comprend 5 épisodes (numéros 487 à 491) et fait suite à X-Men : La chute de l'empire Shiar.



Une oracle est décédée chez les Morlocks et elle a laissé derrière elle des écrits prophétiques, parfois contradictoires. Masque (Jack MacNaughton) a décidé de participer activement, voire de provoquer, les événements annoncés dans ces écrits. Il torture Caliban (August Hoffer) pour que ce dernier contacte les X-Men, ce qui doit conduire à des bouleversements qui aboutiront à l'avènement du règne des mutants sous l'autorité de Magneto. Le professeur X dépêche Warpath (James proudstar), Hepzibah et Storm (Ororo Iqadi T'Challa, née Munroe) pour accompagner Caliban et aller enquêter dans les tunnels des Morlocks. Pendant ce temps là Charles Xavier et Kurt Wagner (Nightcrawler) s'embarquent à bord du Blackbird pour suivre la trace de Magneto.



Le plus surprenant à la lecture de cette histoire, c'est son accessibilité. Il n'y a nul besoin de se replonger dans toute la série des X-Men depuis 1963 pour comprendre ce qui se passe, qui sont les personnages et ce qui est en jeu. Bon, d'accord, une notion de la place des mutants dans l'univers Marvel aide un peu à la compréhension. Mais de manière surprenante, Brubaker réussit la gageure de créer une histoire compréhensible tout en référençant des événements et des personnages plus ou moins obscurs (Sentinel O*N*E, Sally Blevins alias Skids, Masque, Barbara Stacey alias Bliss, etc.). L'intrigue est prenante et n'apparaît pas comme du simple remplissage entre 2 événements. La psychologie des héros est raccord avec leur histoire personnelle et chacun a droit à son petit moment sous le projecteur. Il sait même utiliser la claustrophobie de Storm sans pour autant en abuser.



Les illustrations de Salvador Larroca s'accordent très bien avec les scènes dans les égouts et dans les bois. Le travail du metteur en couleur (Jason Keith) est assez sophistiqué. Il utilise sans en abuser l'outil infographique pour rajouter des textures dans les décors ce qui augmente l'effet photoréaliste du style du dessinateur. Larroca a accompli un travail remarquable au niveau du rendu des visages. Les personnages s'en trouvent fortement personnifiés et crédibilisés. Ses dessins sont clairs et facilement lisibles. Les séquences de combats sont bien agencées. Les décors sont détaillés, à l'opposé des fonds interchangeables habituels.



Cette intrigue ne restera peut être pas longtemps dans les annales des mutants, mais elle est agréable à lire, facile à comprendre, détaillée au point d'immerger facilement le lecteur dans les péripéties, et annonciatrice de la création du commando X-Force. 4 étoiles.
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

Après un tome 1 alléchant, même s'il était simple et linéaire, j'attendais des rebondissements et plein de pistes, de complications, etc.



Eh bien, rien de tout cela... On est toujours avec Lou et Rouge, qui fuient vers le Vrai-Monde et finissent par entrer en Oz à la fin du volume... OK, on rit un peut lorsque Grimm et ses sbires sont bloqués par un Troll qui applique à la lettre le contre dans lequel il est supposé jouer... On s'émerveille d'avoir Andersen en cartographe qui essaie d'empêcher les contes de mourir, quand plus personne ne les connaît et on tremble à la dernière page, quand Lou fait face à Dorothy et ses trois comparses qui ont kidnappé Rouge... Une Dorothy anorexique à gros seins...



Rien de mémorable par rapport à la découverte du tome 1.
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

Franchement déçue par cette suite (peut-être à cause de l'attente très longue entre les deux tomes). J'ai eu du mal à me replonger dans l'intrigue développée, d'autant plus qu'il n'y a aucun rappel de ce qu'il s'est passé avant.

Les dessins sont toujours aussi soignés et nous entrainent dans un univers de plus en plus sombre.

A voir ce que donnera la suite.
Lien : http://boumabib.fr
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Out There : tome 2 (INT)

Toujours dans la lignée du premier volume, Bryan Augustyn et Humberto Ramos nous entraînent dans leur univers de sectes, de monstres et de sorcellerie avec un visage mi-sombre, mi-coloré qui n’est pas déplaisant et permet un bon pont d’entrée dans les univers d’horreur proches du style d’H.P. Lovecraft.
Lien : http://www.avoir-alire.com/o..
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Kookaburra K, tome 1 : Big Bang Baby

Kookaburra est une série que j’avais commencé à lire il y a quelques années. Mais j’avais cessé la lecture car je n’avais accroché ni à l’histoire et aux personnages ni au dessin.



Avec cette série qui semble être une suite, on retrouve les personnages du premier cycle. Ce premier épisode est un épisode de présentation : on met en place la situation et les personnages. Le problème c’est que ça fait une pléthore de personnages dont on est censé se souvenir ce qui n’est pas le cas.



Puis le destin de ces enfants mutants aux dessins que je n’apprécie pas pas trop (trop tourné vers le manga, trop sombre) m’intéresse moyennement. C’est dommage parce que je trouvais l’idée de départ plutôt pas mal : la destruction de la planète mère, les conséquences que cela va va engendrer pour la continuité de l’humanité.
Lien : http://lecturesdechiwi.wordp..
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Révélations, Tome 1 :

J'adore le dessin de cet album : esthétique et moderne par la technique. J'avais été attiré dès le départ par ce dessin puis l'intrigue policière m'est apparue également très prenante : une enquête, le Vatican, de la sorcellerie, mais pas si basique que ça.
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Extraordinary X-Men, tome 2

La suite de la série commencée avec Refuge-X. Comme pour la plupart des saga Marvel, beaucoup de séries sont reliées à cette histoire, ce qui fait que si l'intrigue principale est assez linéaire, des évènements ou personnages semblent souvent arriver de nulle part  (... par-ce que vous êtes censés avoir lu les épisodes des séries Old-man logan, All-new x-men, etc). Très franchement si la découverte pouvait être sympa sur le précédent arc, ici on a un assez interminable errements des nouveaux x-men dans les mondes d'Apocalypse, dans le futur, beaucoup de Deus-ex machina et des évènements dramatiques un peu balancés rapidos (la conversion de Colossus). En gros, la terre a été détruite et Apocalypse a recréé des mondes hébergements les peuples survivants (Inhumains, IA de Tony Staark, Atlantis,...). Graphiquement il y a du correcte et quelques très jolies planches (on reste au dessus de la moyenne des comics). Très clairement ce sont les (trop rares) séquences avec Magik, Logan et Jean Grey qui sont de loin les plus intéressantes. Un bon blockbuster très grand public (les habitués n'ont pas aimés à ce que je lis sur les blogs/sites) qui ne révolutionnera rien mais garde le mérite d'être accessible aux profanes.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Extraordinary X-Men, tome 2

Ce tome fait suite à X-Haven (épisodes 1 à 5) qu'il faut avoir lu avant. Il comprend les épisodes 6 à 12, initialement parus en 2016, tous écrits par Jeff Lemire. Les épisodes 6 & 7 ont été dessinés et encrés par Victor Ibañez, avec une mise en couleurs de Jay David Ramos. Les épisodes 8 à 12 ont été dessinés par Humberto Ramos et encrés par Victor Olazaba, avec une mise en couleurs réalisée par Edgar Delgado. Les 8 pages supplémentaires de l'épisode 8 ont été dessinées et encrées par Victor Ibañez avec une mise en couleurs du studio Sotocolor.



Ororo Munroe (Storm) est toujours responsable de la communauté de mutants qui s'est installée à l'école X-Haven, située dans les limbes. Elle a décidé que Piotr Rasputin serait responsable de la formation des jeunes mutants présents : Anole (Victor Borkowski), Glob Herman, Martha Johansson et Ernst. Elle a ensuite envoyé une équipe dans Weirdworld pour récupérer des mutants mystérieusement disparus aux alentours de l'anomalie qui constitue un point de passage vers Weirdworld. Cette équipe se compose de Colossus (Piotr Rasputin), Old man Logan (en provenance de la Terre 807128), Iceman (Bobby Drake, l'adulte), Magik (Illyana Rasputin), et Cerebra (une version de Cerebro abritée dans le corps robotique d'une Sentinelle).



Cette mission n'est qu'une des crises que Storm a à gérer. Elle doit également accompagner Jean Grey (l'adolescente) dans l'esprit de Kurt Wagner (Nightcrawler), par télépathie, pour découvrir ce qui l'a traumatisé au point qu'il ne parle presque plus et qu'il reste prostré. Après son retour de sa mission initiale, Magik s'occupe de Sapna, une mutante magicienne, apparue dans le premier épisode de la série. Toujours à l'issue de la première mission, Storm dépêche une autre équipe à Tokyo où Cerebra a détecté la présence de 600 mutants. Sur place, l'équipe de X-Men se heurte à Sugar Man (un rescapé de la Terre 295, celle de l'Ère d'Apocalypse). L'affrontement provoque un dysfonctionnement dans le téléporteur de Cerebra et les X-Men (Colossus, Anole, Ernst, Martha et Glob Herman) se retrouvent embarqués dans un futur appelé Omega World.



Dans le premier tome, Jeff Lemire avait installé l'équipe de mutants qui lui est dévolue dans un endroit inattendu (une catastrophe en puissance) et les avait confrontés à un supercriminel pour remplir son quota d'action, pendant que Dennis Hopeless et Cullen Bunn s'occupent respectivement des séries All new X-Men et Uncanny X-Men. Il avait également rapatrié Old man Logan, en provenance directe de sa série dont il est également le scénariste (à commencer par Berzerker). Synergie entre médias oblige, Jeff Lemire n'a d'autre choix que de confronter les X-Men à Apocalypse, du fait de la sortie du film X-Men : Apocalypse (2016) de Bryan Singer. Le lecteur éprouve quelques doutes quant à la capacité du scénariste à gérer une équipe de nombreux X-Men (il est plus à l'aise sur des titres avec un unique personnage principal) et à imaginer une version engageante d'Apocalypse.



Pourtant le premier épisode propose une aventure divertissante, même si la mission est des plus banales : sauver des mutants. Le scénariste n'abuse pas des possibilités de Weirdworld, se contentant de jouer avec des dinosaures inventés sur la base de rhinocéros, et en rajoutant une couche avec la présence surprise de Sunfire (Shiro Yoshida). Les X-Men plaisantent entre eux, Colossus proposant à Logan de le lancer (une fastball special, comme au bon vieux temps), Logan estimant que Weirdworld est pire que la Terre Sauvage (Savage Land). Le lecteur est en terrain familier ; le scénariste sait évoquer les éléments récurrents de la série sans en faire un point majeur de son intrigue. Par la suite, il se montre perspicace en attribuant le rôle de mentor à Piotr Rasputin, sur la base du rôle de protecteur qu'il a longtemps joué vis-à-vis de sa petite sœur. Il sait transcrire l'insouciance de la jeunesse chez Glob Herman et Anole. Il propose un voyage dans l'esprit de Kurt Wagner qui revisite des événements passés, à nouveau sans avoir besoin de se plonger dans une encyclopédie en ligne pour comprendre. Finalement ces 2 premiers épisodes dissipent la crainte du lecteur car le scénariste jongle bien avec sa dizaine de personnages, sait amalgamer références au passé légères et personnages nouveaux (Sapna), dans une aventure très classique mais bien menée.



Victor Ibañez s'inspire des caractéristiques des dessins d'Humberto Ramos, plus sa mise en page que pour les expressions des visages ou les contours un peu anguleux des personnages. Sa narration visuelle respecte les conventions graphiques spécifiques aux comics de superhéros. Il reprend les costumes des personnages à l'identique, de la forme très particulière de celui de Storm qui laisse son nombril à l'air, à au teeshirt et blouson en cuir de Logan, en passant par l'absence de costume pour Anole, Glob, Ernst et Martha. Il représente avec un bon niveau de détails les personnages secondaires, et les tenues vestimentaires des civils. Les différents environnements présentent assez de caractéristiques pour ne pas être génériques. Là encore il reproduit fidèlement la façade de l'école pour surdoués, le mobilier du bureau du chef d'établissement, et il se contente d'une vague jungle prête à l'emploi pour la zone de Weirdworld visitée. Ibañez se montre plus inspiré pour les séquences se déroulant dans l'esprit de Nightcrawler, avec des références facilement reconnaissables au village bavarois dans lequel il a été recruté par Charles Xavier, au monde de pirates du ciel dans lequel il maniait le sabre, ou encore à la figure tutélaire de Cyclops. Il ne reste que la chevelure lisse de Kurt Wagner qui paraît peu esthétique, mais il n'en est pas responsable.



Ainsi rassuré, le lecteur entame les 5 épisodes suivants plus confiants sur le fait qu'ils ne constitueront peut-être pas un navet à base de clichés rabâchés. Les relations entre personnages restent agréables, de la franche camaraderie entre vieux amis comme Storm et Logan (même si ce dernier est beaucoup plus vieux qu'elle dans cette incarnation), à la franchise brutale entre Illyana et Forge. Jeff Lemire met en œuvre une direction d'acteurs qui respecte leur histoire personnelle et qui atteste qu'il les connaît bien. Contre toute attente, il réussit à conserver les caractéristiques d'Apocalypse (individu obsédé par la survie des individus les plus forts) dans une itération qui comprend des éléments nouveaux. Apocalypse reste cantonné au rôle d'adversaire sans grande personnalité, mais la situation diffère de ses précédentes apparitions. Le lecteur pourra quand même trouver des similitudes avec celle du jeune Evan Sabahnur (Genesis) apparu lors de la Dark Angel Saga écrite par Rick Remender dans la série Uncanny X-Force. Certes Lemire ne peut faire autrement que de créer 4 nouveaux cavaliers de l'apocalypse et d'envoyer ses X-Men dans le futur, mais c'est le prix à payer pour toute histoire avec Apocalypse, et les futurs alternatifs sont une marque de fabrique de la série depuis que Chris Claremont les a utilisés avec libéralité.



Sans être follement original, Jeff Lemire se tire plutôt bien de son obligation éditoriale, avec une histoire spectaculaire qui répond au cahier des charges imposé, sans perdre la voix des principaux personnages, sans se contenter de ressasser les mêmes situations sans rien y apporter. Le lecteur n'est pas transporté par cette itération, mais il n'a pas l'impression de relire d'autres apparitions d'Apocalypse en moins bien, et il n'a pas l'impression que l'auteur se contente de faire du remplissage en attendant de pouvoir revenir à son histoire. Ces épisodes marquent également le retour d'Humberto Ramos avec ses exagérations coutumières : jeunisme pour tous les personnages (Ororo semble être une jeune adolescente), un art consommé de s'économiser sur les arrière-plans, des yeux un peu plus grands que la normal pour rendre les personnages plus expressifs et plus mignons, des expressions des visages appuyées pour des émotions plus à vif, des silhouettes exagérées (plus massives pour certains comme Colossus ou Logan, plus longilignes pour d'autres comme Storm et la plupart des personnages féminins).



Si le lecteur est allergique aux exagérations graphiques de Ramos, ces épisodes ne sont pas pour lui car il reste égal à lui-même. Elles s'accompagnent d'un sens remarquable de la mise en scène de l'énergie, qu'il s'agisse d'une énergie crépitante liée aux superpouvoirs, de l'énergie des superhéros en train de bondir, d'attaquer, de parer, ou encore de l'énergie potentielle se dégageant de certains sites monumentaux comme une pyramide. De ce point de vue, ses tics graphiques sont parfaitement adaptés aux comics de superhéros, aux affrontements plus grands que nature à coup de superpouvoirs pyrotechniques, aux personnages en costume bariolé jaillissant de partout, aux phénomènes spectaculaires et totalement déconnectés de la réalité. Les dessins d'Humbberto Ramos offrent un spectacle total, rehaussé par une mise en couleurs complexe et chatoyante qui accentue la dimension spectaculaire jusqu'à l'absurde. Par essence, les comics de superhéros ne sont pas destinés à être réalistes, ne serait-ce que du fait des superpouvoirs impossibles et des affrontements systématiques pour régler tous les conflits quelle qu'en soit leur nature.



Alors que le lecteur se désole par avance d'un tome phagocyté par une obligation éditoriale découlant de la sortie d'un film mettant en scène Apocalyspe, il a le plaisir de constater que Jeff Lemire a su trouver un point d'équilibre entre historique de la série et intelligibilité, qui profite à la personnalité des premiers rôles. Il raconte 2 aventures assez convenues, mais avec une réelle volonté d'inclure des éléments nouveaux, à défauts d'être réellement innovants. Il est servi dans les premiers épisodes par des dessins compétents à défaut d'être vraiment emballants, et dans les 5 autres par des dessins fougueux, au diapason des aventures colorées de ces superhéros plus grands que nature.
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Fairy Quest, tome 2 : Les parias

L'osmose entre un scénario pour le moins inventif et les dessins si caractéristiques et expressifs de Ramos est tout simplement parfaite.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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Out there, tome 3

Out There fait partie de ces petites perles que tout amateur d'Humberto Ramos sera heureux de retrouver dans la réédition de Glénat. Et en plus de retrouver la série dans de très belles éditions brochés avec couvertures mates, on se voit offrir un épilogue inédit de huit pages.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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