Sous le choc, je me plie en deux, les mains sur les genoux. Je tiens vraiment à ce gamin. Pas seulement comme si je faisais du baby-sitting en attendant que ses parents rentrent à la maison, mais comme s’il etait chez lui quand il est avec moi. Ou plus flippant encore, comme si j’étais chez moi quand je suis avec lui.