Les tueurs en série, sur ce point en particulier, comme les écrivains, poursuivent la quête d'une forme d'immortalité d'une façon solitaire et similaire, l'un utilise le stylo au lieu d'un couteau, l'autre la peau au lieu du papier. En termes métaphasiques, pour eux le meilleur média est l'homme, le reste n'a pas assez de substance, manque de durabilité et de satisfaction existentielle, il n'y a pas de substitut à la possibilité d'écrire sur des pages vivantes, des pages qui respirent.