J’aime sa folie bienveillante, son courage de penser, j’aime cette espérante humanité dans l’homme de terrain. Si j’avais un conseiller d’affaires à embaucher, j’embaucherais Ianik Marcil, non pas pour devenir plus riche, mais bien pour devenir un meilleur citoyen.
Préface de Serge Bouchard
28 janvier 2018