Des années auparavant, il avait déjà localisé au microscope puis dégagé les testicules et les ovaires dont était doté à parts égales chaque individu de l’espèce lombric. Il savait donc depuis longtemps que ces êtres étaient hermaphrodites et même tout à fait capables, même si le cas était rare, d’avoir une activité sexuelle solitaire et donc de féconder leurs ovules avec leur propre sperme.