Il accepterait ce qu’elle lui donnerait, voilà tout. Et c’était déjà tant. Il y avait une myriade d’émotions à lire dans ses yeux, qui ressemblaient presque à de l’amour. Et il se contenterait de cela ; d’un presque. Parce qu’elle était là, nue dans ses bras. Parce qu’elle ne le haïssait pas, ne le méprisait pas. Elle l’aimait presque. Et cela faisait mal, autant que cela était bon