« Comment se passer de la nuit au- dessus de la mer devenue lac noir, piquée au loin des lucioles rouges au bras des éoliennes tandis que dans le ciel les constellations avancent à toute allure ,,soleils en étoiles , traînées laiteuses , immensité creusant une profondeur inédite dans nos âmes ?
Et l’odeur des figuiers ,peut - on abandonner de « son plein gré » les effluves alcooliques des fruits se détachant dans un froissement de feuilles et s’écrasant sur le sol, un choc mou de chairs offertes ? » ...