Un homme n'est pas atteint physiquement par la perte d'un enfant en cours de grossesse, sa souffrance à lui est différente. Elle est morale. Il souffre également de voir sa femme démunie, dévastée. Nous, femmes, nous vivons cette perte à la fois dans notre chair et dans notre âme. Chacun doit être capable de comprendre et d'accepter le chagrin de l'autre.