Si tu disposais du pouvoir et de l’impunité, ferais-tu subir aux coupables les mêmes souffrances que celles de leurs victimes ? demanda-t-elle.
— Je suppose que oui.
— Alors que tu es prêtre et que ton Dieu te commande de pardonner.
— L’histoire de tendre l’autre joue m’a toujours semblé une sottise, tout juste bonne à ramasser une seconde gifle, répondit-il.