C’est fréquent de frapper des animaux, surtout en hiver. Ç’a l’air que ça court mieux sur la voie ferrée que sur un lac glacé ou dans trois pieds de neige ! Le sifflet du train ne leur fait pas peur : ils continuent de courir, mais jamais assez vite. D’autres fois, on les voit rien qu’au dernier moment : après une courbe, la bête sort du bois, saute devant le train, il n’y a rien à faire.