Lorsqu'on arrive à la montagne, c'est pareil à une fête. Quand on arrive là, l'air est plus transparent, plus limpide, plus léger. On est tout près des cimes et plus près du ciel. Alors il y a comme mille petites aiguilles qui vous picotent à l'intérieur. Sans doute c'est ça, la joie. Et tous, là, tandis qu'ils gravissent la dernière grimpée, tous sentent cette drôle de chose qui pétille en dedans.