Chaque fois qu'il me tapait, une partie de moi-même était bien. Comme si, avec moi, grâce à moi, il pouvait s'exprimer tout entier. Avec moi, tout était possible, même sa violence. Comme si, avec moi, il pouvait être lui-même. Complètement. Et pour l'aimer tout entier, il fallait que j'aime çà aussi. Toujours plus.