Nocturne
Dans la nuit, quand le grain s’illumine
Dans les greniers que le clair de lune dessinent
Chaque grain de blé brille pour lui
Les sorcières sont portées sur leurs balais jusqu’aux cieux.
L’idiot du village, qui pense qu’il ne mourra jamais
Se lève et repart en direction de Morton Morell.
Je le suis un bout de chemin. Je l’accompagne.
Nous nous retrouvons tous deux invités par l’été.
(adaptation personnelle)