Au terme de cette lumineuse journée d'été, une soirée claire et calme était tombée : le crépuscule flamboyait ; inondé de sa pourpre sur toute une moitié, le large étang était un miroir immobile, reflétant d'une manière grandiose dans les ténèbres argentées de ses eaux profondes tout à la fois l'abîme aérien du ciel, les arbres renversés devenus comme noirs, et la maison. Tout, alentour, s'était tu. Il n'y avait plus de bruit nulle part. (p. 40)