J’abhorre aussi les parfums, ceux aspergés en trop grande quantité et qu’on renifle malgré nous à plus de cinquante pieds, ceux qui se vinaigrent à la fin de la journée, ceux qui ont passé leur date de péremption, souvent comme leur détenteur, ceux qui vous attireraient des milliers d’insectes suceurs de sang, mais qui, dans notre société moderne, ne font que donner mal à la tête à vos collègues de travail.