— Depuis quand tu regardes sans toucher ? répondis-je derrière mon épaule de mon meilleur air aguicheur.
Il resta immobile.
— Je peux attendre jusqu’à ce qu’on ait le temps de faire ça correctement. Et ce fessier mérite vraiment qu’on s’occupe de lui correctement.
Je le gigotai dans sa direction puis allai à l’étage pour m’habiller, un sourire sur le visage.