"[... ] la chanson de la tribu chasseresse d'Asie retentissant le long de l'ultime chaîne Alaskienne de la terre et descendant jusqu'aux Désastres du Nouveau Monde (dans leurs yeux, et maintenant dans les yeux de Mardou, l'éventuel royaume d'Inca Maya et la vaste Aztéca brillant de serpents d'or et de temples aussi nobles que les Grecs, l'Egypte, les puissantes mâchoires longues et lisses et le nez épaté de Mongoliens de génie créant des arts dans des salles de temps et l'élan de leurs mâchoire pour parler, jusqu'à ce que les Espagnols de Cortés, les miséreux Hollandais las, vieux-monde, efféminés, pantalonnés de Pizarro soient venus en écrasant les roseaux dans les savanes découvrir les cités scintillantes des Yeux Indiens, hautes, perspectivées, boulevardées, ritualisées, blasonnées, pavoisées de ce même Soleil du Nouveau Monde auquel un cœur battant était présenté)" [page 46]