91ème Chorus
Si ce fantôme était réel
Et voulait me faire mal, alors,
Tout ce que j’avais à faire
C’était souffrir et mourir,
Grinçant des dents un moment
Que tout soit terminé.
Si le fantôme était irréel
Et n’était qu’une ombre amicale
Penchée s’apitoyant avec compassion
Sur moi qui dormait en gémissant
Dans la nuit Shakespearienne,
Alors, peut-être, c’était mon frère.
Et mon frère ne cherchait pas à me faire mal.
S’il le faisait, je m’écroulais,
Je voyais des étoiles, des merveilles,
Mon miraculeux Ballon Arc-
En-Ciel hullaballoo s’
Avisait être « Os
d’Ecroulement-Frère » -
Ton meilleur ami t’envoie
Un coup de poing au menton -
Tu penses
Ça va arriver
Et ça n’arrive jamais,
Pan !
/Traduit de l’anglais par Pierre Joris