Je crains la naissance, la vieillesse, la maladie et la mort, et cherche en conséquence un moyen sûr de m’en délivrer. C’est pourquoi je crains les cinq désirs — ceux qui s’attachent à la vue, à l’ouïe, au goût, à l’odorat et au toucher —, ces voleurs inconstants qui dérobent aux hommes leurs trésors les plus précieux, les rendant irréels, faux et changeants, et constituent les grands obstacles dont le chemin de la paix est sans cesse hérissé.