Cependant, les aréoles de ses seins étaient la zone la plus érogène de son corps. Et que ce soit une fille qui la sollicite l’excitait encore davantage. Par jeu, je me forçais à ne regarder que le visage d’Alixe. Je tentais de saisir l’instant où Marinette effleurerait le pourtour du téton. Je vis Alixe renverser la tête et pincer les ailes du nez. J’en étais sûr, le doigt de Marinette débutait sa rotation sur le disque brun du sein. J’aurais pu m’immiscer dans le jeu lesbien des deux filles mais, et cela marquait le rapport unique que j’avais développé à l’égard d’Alixe, je jouissais pleinement de la simple contemplation du plaisir de la jeune femme.