Les guerres, m’avait-on appris, devaient se mener vite et bien. Lorsque c’était impossible, une fois que l’une ou l’autre des factions avait montré un signe de faiblesse, l’affaire devait se régler par la négociation. Même les négociations malhonnêtes étaient préférables à l’épuisement progressif des effectifs qu’engendrait un affrontement trop long.