page 303 [...] Au moment où je montai à haute altitude pour franchir le mur du son, je remarquai que le ciel s'assombrissait jusqu'à devenir d'un bleu foncé. Le soleil, à ces hauteurs, est un globe étincelant, mais l'air ne contenant presque plus aucune particule de poussières, ne peut retenir et réfléchir les rayons solaires. Ce que nous appelons sur Terre la lumière du soleil n'existe plus. La voûte céleste perd de son éclat, et c'est alors que l'on peut voir, en plein midi, briller les étoiles. {...]