Ne serait-il pas plus facile de dire la forêt de bambous comme une parenthèse temporelle cernée de vagues impressions, floues comme nuages, fumeuses même, et d'agrémenter le récit d'Alice de pauses poétiques, de poèmes ésotériques survolant ce lieu comme s'il était un mythe ou un fantasme lumineux ou le songe d'une saison en Inde ?