Je n'ai jamais aimé a prospérité que connurent Kin et Chô, puis leurs descendants pendant sept générations. L'unique chose à quoi j'aspire, c'est le logis aux cinq saules de Tô Sen. Pourtant, j'hésite encore à vivre dans une hutte de branchages au fond des montagnes: demeurant, non sans inconséquence, aux abords de la capitale, je parcours au côté du commun des hommes le chemin de la vie. Comme on l'a dit: "Mon corps hante la cour et la ville, mais mon coeur s'est retiré du monde."