Ne trouve-t-on pas également, dans la peinture de la Renaissance italienne, les traces évidentes de cet humanisme ? La fin de cette peinture cesse d’être exclusivement religieuse et chrétienne, comme aux siècles précédents. Goût du monde sensible, emploi de l’univers matériel pour lui-même, surtout conquête du corps et de la figure humaine : la Renaissance s’achève dans la découverte de l’individu.