Plus bas, au fond de l’oued, dans la profusion des lauriers-roses, c’est parfois l’enchantement de l’eau qui, en cette fin d’avril, coule encore abondante et claire sur les grandes dalles blanchies de soleil.
O les pieds nus des jeunes filles, qui, robes retroussées jusqu’aux cuisses brunes, essorent les linges et les tentures!