Lors de sa communion solennelle, il avait fait sensation au repas familial en demandant au dessert qu’à dater de ce jour on ne l’appelle plus Pierrot, ce qu’il détestait totalement, mais Pierre. Sa mère avait trouvé cette demande déplacée en un jour aussi sacré et pendant des années, l’appela « Pierre, puisque tu veux qu’on t’appelle ainsi ».