C'est parce que l'Homme est seul qu'il a si terriblement besoin de symboles. D'un crane, d'amulettes, d'objets de conjuration. La conscience vertigineuse de la fin de l'ere dans la mort. A chaque instant la ruine. Peut être faudrait-il regarder la passion d'un crane et simplement d'un crane hanté, comme une manifestation désespérée d'amour de soi et du monde déjà perdu.