Jacques Collin (II)

Nous nous en sommes laissés déposséder par une foi aveugle et naïve en notre monde matérialiste, qui, nous coupant de notre essence transcendante et du pouvoir de l’Esprit, a installé la peur et ses sous-produits comme la violence, l’égoïsme et la volonté de puissance. N’est-ce pas toujours par ce système qu’arrivent la maladie, la dégénérescence, la pauvreté, la richesse corruptrice, la mort dégradante ou violente ?
Pourquoi s’obstiner ! On sait que tous les systèmes dits de santé des pays industrialisés sont des gouffres financiers insondables, que la plupart des grands axes de la recherche médicale sont dans des impasses, que ce soit celle du cancer, du sida, de la sclérose en plaques, de l’hépatite B ou C…, et que si l’on meurt un peu plus âgé, c’est au prix souvent élevé de l’acharnement thérapeutique, qui maintient le malade cerné par la mort, dans un simple état de survie.