Olympia marque l'étape de 1865. Cette toile achève « d'exaspérer Paris contre l'artiste », a écrit M. Zola dans la préface du Catalogue. En 1866, à la veille de l'exposition du pont de l'Aima, le même écrivain avait fait sur ce tableau une étude parue dans le volume intitulé Mes Haines, étude qui sent la poudre, où le mot chef-d'œuvre éclate, où tout enfin se ressent à la fois des fureurs de la lutte et d'une vigoureuse admiration.