L'enthousiasme des dilettantes gagnait la foule. La mode viennoise était toute « à la Paganini ». Au restaurant, pour offrir ce qu'il y avait de meilleur et de plus cher, le garçon demandait au client s'il désirait manger à la Paganini ; on faisait des côtelettes à la Paganini, des petits pains à la Paganini, en forme de violon ; les femmes portaient des rubans, des écharpes, des boutons à la Paganini ; on fumait des pipes, des cigares à la Paganini ; on prisait dans des tabatières à la Paganini ; on jouait sur des billards à la Paganini, etc., etc.