Le corps : maison de salive
où des jambes multiples
laissent trace, empreinte,
où des mains de cents doigts
effleurent le verre mince
de l’œil ou du poignet.
Que meure la hâte
des battements du cœur !
Que le bon liquide
circule et soit suave !
Tout le vêtement des veines,
cachons-le sous la peau.