Dans ses mascarades, il paraît s'amuser. En réalité, meurtri par les échecs, il est désemparé et angoissé. Méprisant, sarcastique, impénétrable, il se pare lui-même d'un masque pour ne rien laisser paraître de ce qu'il ressent. C'est dans son oeuvre seule qu'il exprime ses sentiments. Bien plus qu'un jeu ou un défi, elle est protestation, un cri de révolte, une plainte déchirante.