La parole en effet est un don de langage, et le langage n’est pas immatériel. Il est corps subtil, mais il est corps. Les mots sont pris dans toutes les images corporelles qui captivent le sujet : – ils peuvent engrosser l’hystérique, – s’identifier à l’objet du penis-neid, – représenter le flot d’urine de l’ambition urétrale, ou l’excrément retenu de la jouissance avaricieuse.