Dès que l'histoire sonne le tocsin en Pays de dictature, nous savons d'expérience que les stades se transforment en chambre de tortures. Et quelle surprise de ne voir aucun officier israélien réagir face à ce bégaiement de l'histoire alors que les plus âgés d'entre eux portent au bras leur numéro de matricule tatoué par les criminels du IIIe Reich.