Ce surnom [Le Maudit], plane encore, là-bas, dans l'esprit des paisanos. Dans leurs cauchemars. Lorsque, au plus profond de la nuit, retentissent à nouveau les cris de terreur et de douleur des victimes, montent les flammes et l'odeur de chair brûlée, alors que dans le regard de l'homme aux yeux verts, flambent les feux de l'enfer. On l'appelait le Maudit. (p.22)