La faute du père, tu sais, tu sais, ça écrase le fils. Le fils reprend la faute et la fuite du père. C’est un fardeau commun, pas tout à fait secret, un fardeau de famille. Un fardeau comme un autre. Tu devais te cacher, nous devons nous cacher. Personne ne doit te voir. Personne ne nous verra. Nous voir, c’est voir la faute. Un père est quelquefois un Cain sans Abel. (p. 63)