Des filles bien plus saisissantes et tellement plus excitantes que toutes celles qu’on pouvait voir sur les petits ou grands écrans de la gloire. Des filles aux seins trop agressifs pour être soutenus par des tables de bureau ou des guichets de banque ; aux culs trop bien galbés pour ne pas nuire au rendement de n’importe quelle entreprise hantée par l’efficience ; aux corps trop désirables pour les réduire dans l’accomplissement des tâches quotidiennes ; aux cuisses toujours vibrantes avec leurs muscles et leur influx sans cesse titillé qui ne pouvaient que lubrifier en permanence le mystère de leur sexe éternellement dissimulé.