AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jae Lee (12)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Dark Tower - Beginnings : Coffret

Les américains ont bien de la chance. En 2018, est sorti ce magnifique coffret de comics regroupant les livres suivants : The Gunslinger, The Drawing of the Three, The Wastelands, Wizard and Glass, The Wind Through the Keyhole, Wolves of the Calla, Song of Susannah et The Dark Tower.

.

J'ai de la chance aussi puisqu'il trône en bonne place dans ma bibliothèque et je ne me lasse de l'admirer.

.

Bien entendu, j'ai tout lu depuis des lustres, mais je vais vous confier un secret, on me l'a récemment offert, à ma grande stupéfaction éberluée (oui je sais, ce n'est pas trop français).

Les textes sont tous repris dans de multiples retours, alors je ne vais pas vous en écrire tout un pataquès inutile, mais moi qui n'entasse pas les comics hormis justement ceux de Stephen King ou de Clive Barker, je me dois de vanter la qualité des illustrations.

.

À tomber par terre (surtout si vous avez de la moquette, bien que ce soit démodé, si l'on en croit Stéphane Plaza) ! Sinon, visez le canapé.

.

Voilà, je voulais juste partager ma joie avec vous et si vous tombez sur ce coffret, n'hésitez pas à vous en emparer. C'est un magnifique objet... à traiter néanmoins avec précaution, il est un peu fragile.
Commenter  J’apprécie          4730
World War Hulk N°1 Le destructeur

"Worl War Hulk" : un titre évocateur, qui annonce clairement que le Géant Vert n'est pas là pour rigoler. Publié en France entre mars et août 2008, ce crossover de la Maison des Idées (Marvel) s'avère globalement fun, mais pas indispensable selon moi (à moins d'être fan de Hulk évidemment).



Le contexte est le suivant : les Illuminati (Red Richards alias Mr Fantastique, Tony Stark, Black Panther, Docteur Strange et Flèche Noire) décident, contre l'avis d'un de leurs membres, Namor et en l'absence d'un autre, le Professeur Xavier, de bannir Hulk dans l'espace, car il est jugé trop dangereux. S'en suit une bonne petite arnaque de Nick Fury pour piéger Hulk et le voilà partit vers la planète Sakaar. Les évènements qui s'y dérouleront sont relatés dans "Planet Hulk" : en gros, Hulk devient l'empereur de la planète, trouve l'amour, sa dulcinée meurt et, imputant cette tragédie aux Illuminati, il décide de revenir sur terre pour se venger, accompagné de ses compagnons de Sakaar.



Et donc, "World War Hulk" est le récit de cet affrontement, que l'on nous annonce titanesque. Il faut dire que Hulk, déjà surpuissant en temps normal, revient boosté par les doses de radiations reçues sur Sakaar et fou de rage en prime. le récit ne brille donc pas par sa subtilité, et se résume principalement à une série de combats contre les membres des Illuminati et d'autres héros. Néanmoins, ceux-ci sont bien rendus par les dessins de John Romita Jr (mon préféré : Hulk vs Iron Man en armure...anti Hulk). Il y a un côté un peu jeux vidéos dans l'ensemble et, finalement, la question existentielle qui se pose ici est : quelqu'un peut-il battre Hulk ? Et, en creux, cette interrogation rappelle le statut ambiguë de ce personnage, ni vraiment héros, ni vraiment "méchant" (ce qui est bien son atout principal).



Tout ça me rappelle une réplique de Denzel Washington, dans le film "USS Alabama", qui affirme à Gene Hackman qu'à l'heure de l'arme atomique, la menace ultime est la guerre elle-même...Sans doute que les Illuminati se sont dit la même chose mais ils ont oublié un peu vite que, contrairement à une ogive nucléaire, il y a un coeur sensible qui bat dans la poitrine du Géant Vert ^_^



Commenter  J’apprécie          224
La Tour Sombre, tome 8 : Treachery 3/3 (Com..

Les tomes 6, 7 et 8 de la Tour Sombre adapté en comics avec brio par Peter David et Robin Furth a pour sujet la « traitrise ». Il est bien simple, ce chapitre de cette vaste saga dont Stephen King est l’instigateur est bourrée de traitre. On ne sait plus où donner de la tête et en qui avoir confiance. Normal vous me direz car Farson est dans les parages…



Ce chapitre surpasse pour moi les deux premiers épisodes sur la jeunesse de Roland, ses aventures à Mejis et son retour à Gilead. Ici, on se détache de l’histoire conté par Stephen King dans ses livres tout en retrouvant certains éléments clés comme cette magnifique fin clôturant également le tome 4 version roman ou encore le célèbre concours de devinette !



En outre, c’est l’occasion d’explorer une partie obscure de l’histoire de Gilead et de Farson. On y découvre également de nouveaux apprentis pistoleros et Aileen, un personnage très prometteur !



Le visuel est toujours aussi glauque et ainsi toujours aussi plaisant. Un petit peu plus colorée et gai que les précédents ouvrages et ce n’est pas pour me déplaire.



Bref un incontournable pour un fan de la Tour Sombre !

Commenter  J’apprécie          60
La tour sombre (comics), tome 14 : La batai..

Suite et fin de la version comics de la série de la Tour Sombre avec ces trois derniers tomes. L'adaptation graphique comme scénaristique est une réussite jusqu'au bout, l'esprit de la saga littéraire est fidèlement rendu, les libertés prises ne le sont que dans les "trous" de l'histoire originelle. On sent bien le profond respect de Robin Furth pour le travail de King, le Maître comme elle l'appelle.



Et du coup, on se demande pourquoi l'éditeur français n'a pas eu le même respect pour le travail de ces mêmes adaptateurs. Qu'ils aient voulu adapter le support comics américain à un format plus BD à l'européenne... à la rigueur... Mais rien n'empêchait de signaler malgré tout où se situaient les coupures des éditions originales... et de chercher à éviter que des séries cohérentes se trouve coupées en deux volumes... Je sentais bien certaines bizarreries chronologiques tout au long de ma lecture et c'est en cherchant à comprendre que j'ai trouvé sur le Net le découpage originel... Etait-ce si compliqué de respecter un peu le travail des artistes ?
Commenter  J’apprécie          60
La tour sombre (comics), tome 14 : La batai..

On est parti pour le cycle final de la tour sombre version « comics », prequel de la saga de Stephen King. Cette fois-ci, direction la bataille de Jericho, là où tout se termine et où tout commence…



Fidèle aux autres tomes, on a notre dose de traitrise et de pertes humaines douloureuses. Peu de surprises pour un lecteur fidèle de King et de sa tour sombre mais, Robin a su prendre des libertés comme elle seule peut le faire !



Un vrai plaisir de parcourir une dernière fois ces dessins au style si particulier, si cauchemardesque, si sombre, si brut… Et puis cette fin qui donne envie de se relancer pour un nouveau tour de roue…



Bref, je ne vais pas être très long, de toute façon, c’est à l’image des tomes précédents. De grande qualité. Une série de comics menée de main de maitre par une fan qui maitrise la saga comme personne et d’un dessinateur de talent.



Merci !

Commenter  J’apprécie          40
Inhumans - Tour d'ivoire

Ce tome contient une histoire complète, initialement parue en 12 épisodes en 1998/1999. Le scénario est de Paul Jenkins et les illustrations de Jae Lee. Ces 2 auteurs ont à nouveau collaboré pour The Sentry en 2000.



Les Inhumans sont une race terrestre créée génétiquement par les Kree (une race extraterrestre) et restée longtemps isolée des humains. Au début de ce tome, Attilan (leur cité) est installée sur les ruines d'Atlantis (la capitale de l'Atlantide, le royaume de Namor) qui se trouve émergée. Or Maximus (le frère fou de Black Bolt qui est le souverain de cette nation) a comploté avec plusieurs humains pour qu'un groupe de mercenaires portugais attaque Attilan, pendant que Maximus sabote leur défense de l'intérieur. Au grand désarroi de la famille impériale, Black Bolt décide de ne rien faire et d'observer la progression de la petite armée au fur et à mesure qu'elle se rapproche d'Attilan.



Les Inhumans sont apparus pour la première fois dans l'épisode 45 des Fantastic Four, en décembre 1965. Ils ont fait plusieurs apparitions de ci de là pour finir par disposer d'une maxisérie en 12 épisodes en 1977 (Marvel Masterworks - Inhumans 2) et d'apparitions régulières dans l'univers partagé Marvel, celle précédant immédiatement cette série étant Fantastic Four/Inhumans (1998).



En 1998, Bob Harras (alors éditeur en chef de Marvel) confie une poignée de titres moribonds à Joe Quesada et Jimmy Palmiotti, remplissant le rôle de responsable éditorial avec une grande latitude d'action. C'est sous la bannière correspondante de "Marvel Knights" que sort cette histoire des Inhumans (ils superviseront également Daredevil avec Kevin Smith puis Brian Michael Bendis, Punisher avec Garth Ennis, Marvel Boy avec Grant Morrison, Shanna avec Frank Cho, Yellow Blue & Grey avec Loeb et Sale, etc.). Le credo de Quesada et Palmiotti est de dire qu'il est possible de faire du neuf avec les superhéros Marvel, dans des récits ambitieux et vendeurs. Ils confient cette maxisérie à Paul Jenkins qui a fait ses preuves avec les Tortues Ninjas et Hellblazer, et à Jae Lee qui avait travaillé avec John Byrne sur la série Namor, et avait déjà produit une histoire indépendante chez Image intitulée Hellshock.



La première chose qui attire l'attention en plongeant dans ce récit est le parti pris esthétique tranché de Jae Lee. Il accentue son encrage de manière à transformer chaque trait et chaque ombre en un élément aux frontières de l'abstraction. Pour lui, les traits ne se limitent à délimiter les contours ou figurer les ombres portées, ils doivent également accentuer l'ambiance, participer à l'étrangeté des personnages, être autant figuratifs que révélateurs de leur état d'esprit. D'ailleurs Jae Lee reprend les costumes des Inumans créés par Jack Kirby tout en y apportant une touche personnelle. Grâce à son interprétation, cette bande d'exclus costumés devient un groupe où chaque individu est vraiment singulier, avec des caractéristiques inhumaines. Sa plus grande réussite est certainement Karnak qui devient visuellement crédible grâce à ses tatouages et son air réfléchi. Triton acquiert une apparence dérivant plus des poissons. Seul Black Bolt reste monolithique, gardant toujours inutilement son masque sur le visage pour une raison incompréhensible. L'approche graphique de Lee confère une présence remarquable à chaque personnage à chaque scène, ce qui conserve toute l'attention du lecteur au fil des dialogues. Par contre, Lee ne s'intéresse que de temps en temps aux décors, laissant le soin à Dave Kemp (le metteur en couleurs) de combler les fonds avec des motifs accentuant encore l'état émotionnel des personnages. Kemp s'en tire avec les honneurs.



De son coté, Paul Jenkins innove également. Le fan de l'univers partagé Marvel retrouve les caractéristiques de base des Inhumans : une race créée par les Krees, les mutations dues aux brumes terrigènes, la famille royale (Black Bolt, Medusa, Gorgon, Triton, Crystal et Lockjaw, sans oublier Maximus, le frère fou de Black Bolt), la cité Attilan, l'empoisonnement par la pollution, etc. Le fan le plus aguerri retrouve même des éléments de continuité pointus tels les différents combats de Black Bolt contre des entités improbables. Il n'y a pas à discuter, il s'agit bien des Inhumans, avec même le cliché de Maximus trahissant sa race pour son venger de son frère, et les hommes attaquant les Inhumans. L'innovation se trouve dans la nature même du récit : alors que la survie de son peuple est menacée, Black Bolt refuse de recourir à la violence. Paul Jenkins délaisse les combats à grands coups de rayon destructeur pour résoudre le conflit au profit de la peinture d'un responsable d'état convaincu de la non-violence. Jenkins effectue un superbe pied de nez aux conventions du genre, en dépeignant un héros qui met en pratique ses convictions : la violence n'est pas une solution, la violence est le dernier recours des faibles.



Cette approche donne un récit plein de suspense qui augmente au fur et à mesure que les mercenaires portugais font des victimes dans les rangs des Inhumans et se rapprochent d'Attilan. Ce choix narratif présente un seul inconvénient, c'est que cette avancée progresse de manière trop mécanique. Chaque épisode, l'armée avance un peu en apportant la scène d'action obligatoire de manière un peu artificielle. L'autre défaut du récit est le peu d'intérêt que la famille royale porte aux manigances de Maximus qui réussit à obtenir une foule d'objets dans sa cellule sans que personne ne s'en inquiète (mais cette apparente incohérence trouve son explication au cours du récit). D'un autre coté, Jenkins réussit de magnifiques épisodes tel le premier (où il répond à la question de que dirait Black Bolt s'il pouvait parler, réponse magnifique de pertinence et de légèreté), ou le deuxième dans lequel le lecteur suit un groupe d'adolescents subissant l'épreuve de passage de s'immerger dans les brumes terrigènes. Il s'en serait fallu de peu que d'autres chapitres atteignent une telle intensité ; le neuvième (consacré à Triton) était proche de cet état de grâce.



Paul Jenkins et Jae Lee atteignent parfaitement l'objectif assigné à la branche "Marvel Knights" : s'approprier des personnages de second plan de l'univers Marvel, respecter leur essence et raconter une histoire originale et palpitante. L'intrigue présente un aspect un peu mécanique, et le manque de décor devient parfois trop criant. Comparé aux comics de superhéros traditionnels, cette histoire mérite 5 étoiles, mais les fluctuations de qualité d'un chapitre à l'autre génèrent une forme de regret en songeant à ce qui aurait pu être, au peu qu'il manquait pour qu'elle devienne un classique indispensable.
Commenter  J’apprécie          40
La Tour Sombre, tome 8 : Treachery 3/3 (Com..

Pas le meilleur de King ,mais des bons passages .

Commenter  J’apprécie          30
Sentry : La sentinelle

Si l'on sait aujourd'hui que cela était en fait une simple stratégie commerciale visant à attirer l'attention du public, au début des années 2000, Paul Jenkins présente le personnage de Sentry comme étant un héros de l'Age d'or, crée par Stan Lee mais oublié de tous.



Ce comics va dans ce sens en insérant Sentry dans une retro continuité.

Ainsi, le personnage va nous être présenté comme un des plus grand héros ayant existé et que tout le monde adulait mais qui suite à un événement mystérieux a été oublié par ses pairs ainsi que par le public.



Le récit se divise en deux partie avec au départ un récit psychologique comme Paul Jenkins sait le faire, le héros lui même vit paisiblement à la campagne et à oublié son passé qui commence à ressurgir.



Puis peu à peu, la ret con se met en place en intégrant Sentry dans la vie de Spider-Man, des FF, de Hulk, des Avengers ou encore des X-Men qui eux aussi commence à se souvenir de leur ami oublié.



Un récit un peu plus complexe mais surtout beaucoup plus "indés" que ce qui se fait régulièrement chez Marvel.



Un incontournable à lire ? Surement pas, mais si vous voulez en savoir plus sur le personnage de Sentry, nul doute que ce récit est celui qu'il vous faut.
Commenter  J’apprécie          10
La Tour Sombre, tome 8 : Treachery 3/3 (Com..

Lire un comics La tour Sombre, c’est souvent court, mais ça permet d’avoir encore plus de connaissance du monde fascinant mis en place par Stephen King !



On retrouve donc Roland, Alain et Cuthbert qui rentrent au chateau. Ils vont ensuite assister à une fête durant laquelle la mére de Roland va agir étrangement. Pendant ce temps, un concours de devinette à lieu…



Et voici donc l’histoire qui, en si peu de pages, à peu de chances d’être franchement incroyablement marquante, mais qui a l’avantage de posséder de superbes dessins et de faire avancer l’intrigue tout en levant un peu plus sur le voile sur un des événements majeurs qui a fait de Roland ce qu’il est devenu. Bref, La trentaine de minutes nécessaires pour le lire est finalement loin d’être inutile !



En fin de livre, on a de nouveau du plus avec un guide des poisons utiliser dans ce monde et des informations sur les fêtes et concours de devinettes. Sans oublier les croquis sublime à contempler pour le plaisir des yeux. Un pur bonheur qui justifie le prix de ce livre et de toute la série !
Commenter  J’apprécie          10
Transformers - G.I. JOE, tome 2 : 1939 (2/2)

Une seconde partie admirable et bien construite autour d'une idée originale à partir de deux franchises qui ont connu de multiples transpositions.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
Commenter  J’apprécie          00
Marvel (Les incontournables), Tome 8 : Hulk

Après la collection "Spider-Man - Les incontournables" qui revenait sur les meilleures aventures de Spidey, Panini a édité une deuxième série d’incontournables. Après des tomes dédiés au tisseur, à Iron Man, à Wolverine, aux Fantastic Four, aux X-Men, aux (nouveaux) Vengeurs et à Daredevil, le huitième tome de cette collection, dont chaque tome met en scène l’un de plus grands héros Marvel, est dédié à Hulk. Les tomes suivants seront respectivement dédiés au Punisher et au Ghost Rider. Notons que la date de publication de cet «Incontournable» est telle, qu’elle correspond à la sortie du nouveau film dédié à l’homme vert. Le thème central de cet incontournable est la mort et plus particulièrement celle de Betty.



Le fascicule fac-similé reprend l’épisode #467 («The Lone And Level Sands») de Hulk paru en août 1998 et dessiné par Adam Kubert. Cet épisode clôt le run de Peter David, entamé 12 ans auparavant dans l’épisode #328 («Piece Of Mind», 02/1987). La couverture, montrant Hulk au milieu du Dr. Strange, Iron Man et autres personnages connus ne reflète pas vraiment le contenu de cet épisode déjà publié en français dans Marvel Méga n°10 (07/1999) et Hulk #45 (09/1999). Le récit revient en effet sur la mort de Betty, sous forme d’interview. On retrouve ainsi Rick Jones, narrant cette histoire tragique sous forme de voix-off en répondant aux questions d’un journaliste du Buggle nommé Pete (Peter Parker ?), 10 ans après les faits. Une histoire qui ne m’a pas accroché plus que ça, excepté peut-être la transformation silencieuse d’un Banner, soulagé de planter son humanité alors qu’il semble généralement lutter contre cette transformation.



Le tome cartonné reprend trois histoires indépendantes. Les deux premières, reprennent respectivement les épisodes d’Incredible Hulk #24 et #25 (parus dans Marvel Elite 15 à 17 et Hulk Maxi Livres 3) et d’Incredible Hulk #27 et #28 (parus dans Marvel Elite 19 à 20 et Hulk Maxi Livres 3). Des histoires pas mauvaises signées Paul Jenkins et John Romita Jr qui montrent un Banner incapable de surmonter la mort de Betty, obligé de combattre ses propres démons. Le combat contre son pire ennemi, l’Abomination, est sympa, tout comme le dessin de John Romita Jr. Le dernier récit reprend l’épisode d’Incredible Hulk #82 («Dear Tricia», 08/2005), dessiné par Jae Lee et scénarisé par Peter David. Le graphisme de cette histoire est séduisant et nous emmène dans un décor londonien brumeux assez inhabituel pour le géant vert. L’intrigue, qui tourne à nouveau autour de la mort, est plutôt moyenne, mais l’atmosphère est par contre assez réussie.



Bref, un Incontournable qui est moins bon que les deux précédents (New Avengers et Daredevil).

Commenter  J’apprécie          00
Sentry : La sentinelle

Une édition cartonnée « intégrale » chez Marvel Deluxe rend justice à une histoire complexe, un peu tordue de Paul Jenkins, vieille de 19 ans, que n’aurait pas reniée un certain Neil Gaiman. Les dessins de Jae Lee, accompagnés d’une poignée d’autres bons artistes, suffiraient néanmoins à confirmer le statut culte de cet album.
Lien : http://bdzoom.com/145070/com..
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jae Lee (93)Voir plus

Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2872 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur cet auteur

{* *}