Il avait tout de même des scrupules, ce qui était absurde : il avait passé une bonne partie de sa vie à pirater dans le VirtNet sans éprouver la moindre culpabilité. Là, pourtant, c’était différent. Il ne s’agissait plus de piratage ou de codage, mais d’un simple clic. Il avait déjà volé la vie d’un innocent ; lui prendre aussi son existence virtuelle paraissait excessif.