« - Pensez-vous qu'il faille autoriser l'existence d'une certaine fraction du crime organisé afin qu'elle perpétue certains vices acceptables qui ne font de mal à personne ? - Bien sûr, une façon de défendre les intérêts de l'électorat. Il faut bien laisser un peu de mou sur la ficelle. » (p. 91)