Par exemple, il savait que sa responsabilité envers les gens affligés par le deuil dépassait de loin la simple organisation d'un enterrement. En fait, ceux qui pleuraient un être cher avaient souvent besoin de davantage de réconfort une fois disparu le choc initial de la mort, quand leurs amis avaient repris leurs existences quotidiennes et que la période publique du deuil était terminée. C’était le devoir du prêtre d'offrir une consolation constante, d'aimer et de servir ses paroissiens quoi qu'il put lui en couter.