« Accepter ses sentiments. Les sentiments ne sont ni mauvais ni bons, ils surviennent, voilà tout ; quand ils sont acceptés et compris, ils se résolvent d’eux-mêmes. Compatir en disant : « Je sais que tu n’es pas content que je sois moins avec toi depuis que ta petite sœur est née », exprime une compréhension que l’enfant traduit comme de l’amour. Accepter les sentiments de l’enfant ne signifie pas tolérer tous les comportements. « C’est très énervant d’avoir comme frère un bébé qui pleure, mais je ne te permets pas de le pincer. » »