La splendide hybride chemine sur les corps gelés qui se disloquent sous ses pas. Elle s'affale, sombre et remonte. Supplice d'une noyade sans eau. Elle s'appuie sur un pied ou une mâchoire instable pour éviter les trous. Elle chute encore, se relève et repart, sonnée. Ses compagnons se moquent d'être piétinés. La mort n'existe que pour les vivants.