Pour lui, chaque repas était une célébration. Une petite victoire tranquille de la vie sur la mort. De l’amour sur la haine. De la beauté sur la laideur. Du bien sur le mal. Et plus d’efforts il faisait, meilleur c’était, plus les papilles étaient stimulées, plus l’odorat était satisfait, plus le ventre était rempli, plus douce était la victoire.